Augmenter la proportion (de production et) de transformation et de distribution locale et durable pourrait être un grand pas, non seulement pour la transition écologique et sociale, mais également pour la résilience des territoires. La situation actuelle apparait polarisée avec deux courants plutôt hermétiques : d’une part, un courant mainstream, puissant, guidé notamment par les grandes distributions et, d’autre part, des initiatives alternatives à ce courant majoritaire, plus petites, qui ne semblent pas en mesure de se généraliser.
Cette session conduira donc à se questionner sur différents enjeux tels que la répartition des marges dans les filières, sur les verrous que rencontrent les artisan.es et les porteurs de projets, mais également sur la résilience des systèmes alimentaires et les enjeux environnementaux et sociaux d’une relocalisation de la transformation et la distribution.
Avec les interventions de :
Anouchka Bagnoud, Durabiliste spécialisée en système alimentaire, Centre de compétences en durabilité, UNIL.
Armelle Rochat, Cheffe de projet de recherche « Transparence des coûts et marges de Filières Agricoles romandes (FAV) », UNIL
Astrid Gertz, Experte en valorisation des produits agroalimentaire et membre de l’équipe de coordination de Star’terre, AGRIDEA.
Formulaire d’inscription ici
Attention, l’inscription est très chère!
Dans le cadre des journées scientifiques de l’agroécologie des 3 et 4 octobre 2024 sur la thématique : Comment créer un système alimentaire qui respecte les limites planétaires tout en renforçant les dimensions sociales ?